A quelques mois de l'élection présidentielle, plus rien ne va, plus rien n'est écrit
On s'approchait mi 2016 entre un duel avec Hollande et Juppé, c'est du moins ce qu'on croyait.
Personne n'aurait cru mi 2016 que Hollande aurait renoncé, que Juppé se serait fait battre par Fillon, battant également Sarkozy.
Personne n'aurait songé une seconde à ce que Hamon puisse écraser Valls.
Encore moins que Monsieur Propre de la Droite, François Fillon, se serait empêtré dans une affaire trouble qui le discrédite jusque dans ses propres troupes.
Hamon a doublé Mélenchon dans la course aux sondages et Fillon est en baisse.
Marine le Pen semble caracoler avec Macron.
Mais on ne sait rien en définitive, sauf qu'on est bien dans la campagne des présidentielles 2017 et que les différents camps s'activent.
Chez Macron, on en dit le moins possible et on attire les déçus du PS et des LR.
Chez Mélenchon, certains viennent aussi du PS.
Bref, je me retrouve à militer avec des contacts, avec qui j'avais déja fait 2012, et d'autres qui font campagne pour un des rivaux de Benoit Hamon.
Certains sont dans les limbes, aussi, ne sachant choisir.
Le souci, c'est qu'on ne sait plus trop si Macron est un rival ou un adversaire.
Qu'on espère que Mélenchon reste un rival mais pas un ennemi.
Pendant ce temps, Macron et Marine croient déjà avoir gagné.
Je ne pensais pas soutenir Benoit Hamon et me retrouver encore à soutenir le PS, je me préparais à ne pas aller voter.
Une chose est sure, c'est que je ne voterai sans doute que si Hamon est en lice au second tour, ce qui n'est ni probable ni improbable, comme beaucoup d'autres choses, d'ailleurs.
Nous sommes dans une espèce de 4ème dimension politique.
Peut-être allons nous vers une Présidence Macron avec un gouvernement de droite issu de l'Assemblée, ou une Présidence Le Pen avec une majorité de gauche...du bordel quoi, tout est vraiment possible.
Seuls le PS et les LR peuvent espérer une majorité en cas d'élection.
Nous sommes donc bien en campagne et ça flingue tout azimuth dans les réseaux sociaux.
On s'approchait mi 2016 entre un duel avec Hollande et Juppé, c'est du moins ce qu'on croyait.
Personne n'aurait cru mi 2016 que Hollande aurait renoncé, que Juppé se serait fait battre par Fillon, battant également Sarkozy.
Personne n'aurait songé une seconde à ce que Hamon puisse écraser Valls.
Encore moins que Monsieur Propre de la Droite, François Fillon, se serait empêtré dans une affaire trouble qui le discrédite jusque dans ses propres troupes.
Hamon a doublé Mélenchon dans la course aux sondages et Fillon est en baisse.
Marine le Pen semble caracoler avec Macron.
Mais on ne sait rien en définitive, sauf qu'on est bien dans la campagne des présidentielles 2017 et que les différents camps s'activent.
Chez Macron, on en dit le moins possible et on attire les déçus du PS et des LR.
Chez Mélenchon, certains viennent aussi du PS.
Bref, je me retrouve à militer avec des contacts, avec qui j'avais déja fait 2012, et d'autres qui font campagne pour un des rivaux de Benoit Hamon.
Certains sont dans les limbes, aussi, ne sachant choisir.
Le souci, c'est qu'on ne sait plus trop si Macron est un rival ou un adversaire.
Qu'on espère que Mélenchon reste un rival mais pas un ennemi.
Pendant ce temps, Macron et Marine croient déjà avoir gagné.
Je ne pensais pas soutenir Benoit Hamon et me retrouver encore à soutenir le PS, je me préparais à ne pas aller voter.
Une chose est sure, c'est que je ne voterai sans doute que si Hamon est en lice au second tour, ce qui n'est ni probable ni improbable, comme beaucoup d'autres choses, d'ailleurs.
Nous sommes dans une espèce de 4ème dimension politique.
Peut-être allons nous vers une Présidence Macron avec un gouvernement de droite issu de l'Assemblée, ou une Présidence Le Pen avec une majorité de gauche...du bordel quoi, tout est vraiment possible.
Seuls le PS et les LR peuvent espérer une majorité en cas d'élection.
Nous sommes donc bien en campagne et ça flingue tout azimuth dans les réseaux sociaux.
Du goudron et des plumes pour les traites affiliés chez le Gourou "sans programme", voire des baffes. "La Gauche-la Gauche-La Gauche! qu'ils disaient ...
RépondreSupprimer"Hamon a doublé Mélenchon dans la course aux sondages"
RépondreSupprimerBon, ça va peut-être encourager des gens du PS mais ils en ont bien besoin. Mes socialistes départementaux n'y croient pas du tout et s'attendent à perdre toutes leurs circonscriptions. Sept personnes seulement à une réunion publique ce soir. Et sur les sept, cinq ont dit qu'ils penchaient plutôt pour Mélenchon... Tu aurais vu la tête des organisateurs !
Tu es du PS, maintenant, Partageux?
RépondreSupprimerFaut être du PS pour assister à une réunion publique ? J'y suis allé par curiosité. Comme du reste les autres spectateurs. ;o) La réunion était en l'occurrence à l'initiative de gens du PCF plus que du PS.
SupprimerChez moi, le PCF est coupé en trois morceaux à peu près égaux : les soutiens de Mélenchon, les partisans d'un accord inconditionnel et permanent avec le PS, les tenants d'une ligne identitaire refusant l'idée-même d'une discussion avec quiconque.
non, mais vu ton apriori, je m'étonne que tu sois allée à une réunion que tu sembles trouver stérile. Sinon, c'est curieux que le revenu universel, toi qui est si touché comme moi par le drame des SDF et de la misère, ne te parle pas.
Supprimerque tu sois allé, bien entendu
SupprimerBembelly, wouah! comme tu y vas!
RépondreSupprimerQuand tu vas à une réunion politique, tu ne sais pas trop à l'avance si ce sera intéressant, ennuyeux, stérile, initiateur de quelque chose, stimulant la réflexion ou autre... C'est la loterie.
RépondreSupprimerJe garde le souvenir d'un meeting du RPR — ouais ça date... — qui avait été passionnant pour le sociologue. On y a vu naître un conflit qui a violemment divisé l'auditoire par moitié et la discorde a du reste conduit à l'explosion du tandem qui se présentait alors à la législative. Rien ne change : le conflit portait sur la sécurité sociale et on l'a retrouvé avec la proposition de Fillon...
J'ai aussi en mémoire une réunion électorale d'une "union de la droite" tout à fait étonnante : on n'y a jamais parlé politique un seul instant ! Le copain qui y était aussi (on ne s'était pas concertés) n'en revenait pas d'une telle vacuité... Les six ou sept intervenants ont tous dit en résumé que le candidat était sympa. Bon, c'était vrai, on le connaissait bien. Mais ça n'apportait quand même strictement rien au débat politique. ;o)
Je suis aussi allé à un meeting de Hollande d'avant les primaires du PS de 2011. Ce n'était pourtant pas plus ma tasse de thé mais j'aime bien me faire une opinion en allant écouter les personnes et pas seulement via l'écrit ou l'audiovisuel.
Tu vois, j'ai presque eu de la peine pour les organisateurs communistes et socialistes du bide pro-Hamon à sept participants. Ils sont complètement démoralisés et je les comprends : sept personnes dans une salle qui peut en accueillir trois ou quatre cents...
Revenu universel : je suis assez partagé. La crainte d'une usine à gaz. La crainte d'un monstre bureaucratique. La peur aussi d'une baisse de fait de la solidarité sociale.
RépondreSupprimerPour beaucoup d'allocataires du Secours catholique ou du Secours populaire, si tu additionnes miettes de salaire + alloc logement + alloc familiales + alloc de rentrée scolaire + bons de vacances + bons de chauffage + dégrèvement taxe d'habitation + CMU + aides diverses, tu es nettement au dessus du RU à 750 euros alors que les mères seules ont déjà bien du mal à boucler.
J'ai tendance à préférer un système mieux ciblé en complément de l'extension de la sécurité sociale (avec notamment la prise en charge à 100% incluant dents, yeux et audition.)